Nous avons reçu le témoignage d'un étudiant d'une des première institution indienne, l'université de Jawaharlal Nehru à New Delhi, qui a été témoin oculaire de ce qui s'est produit dans la chambre 248 de la pension de Kaveri, JNU dans les premières heures du 8 juillet 2008. Certains étudiants ont été écoeurés que l'un d'entr'eux ait appelé la police, un autre a écrit ce témoignage et l'a envoyé par mail, d'autres ont fait une pétition. Ainsi cette information vient de ces étudiants, les initiés.
Il y a des nuits où les loups sont silencieux et seulement les hurlements de la lune retentissent et une telle nuit était le lundi où Kali, une femelle agée de huit ans chienne des rue en Inde a perdu la vie sur le campus de JNU, New Delhi. Kali n'a jamais connu aucun confort parce qu'il y a huit ans elle était née et laissée dans les rues impitoyables par une mère adorée appelée Leela qui lui a donné naissance dans des fourrés près de la pension de Kaveri sur le campus de JNU. Ils ont souffert du froid de l'hiver et de la chaleur de l'été et ont eu peu à manger mais pourtant ils étaient heureux. Petite Kali a été souvent intimidée et lapidée par les garçons escrocs et turbulents de La pension Kaveri, pourtant elle ne s'est jamais plainte et oubliait rapidement les contusions et les tourments pour aller forager avec Leela dans la plus proche décharge.
Les années se sont écoulées et la vie suivait son cours jusqu'à ce que quelques garçons arrivent dans la pension de Kaveri, un événement qui infesterait la vie de Kali pour toujours.
Les garçons ont eu une négligence flagrante envers Kali et Leela et ont attendu un moment opportun pour les découper en tranches et les cuire toutes les deux pour faire un régal de viande de chien. Ainsi en automne 2006 ils ont mis leurs intentions a éxécution par le lynchage de Leela qui était une chienne agée. Leela a été attiré dans un guet-apens et assailli jusqu'à ce qu'elle succombe à ses dommages mortels, tous les garçons voulaient exploiter leurs intérêts culinaires pour sa carcasse mais ont dû abruptement avorter car leur boucherie commençait à attirer la foule. Craignant un tumulte, un acte de dissimulation s'est ensuivi conjointement décidé par la gestion de la pension et les gens de Naga, pour faire taire toute éloquence ils ont a titre posthume et faussement accusé Leela d'ètre un chien agressif et ont justifié son abattage horrible, quelques heures plus tard le cadavre de Leela a été mis dans un sac et jeté près de la même décharge où elle et Kali allaient farfouiller, Kali orpheline s'est assise à côté du cadavre mutilé de sa mère jusqu'à ce que Vatavaran une O.N.G. ait enlevé la charogne. " L'histoire s'est répétée le 8 juillet 2008 quand dans les heures petites du matin c.-à-d. 2 heures du matin Yoronso, un homme notoire de Naga de 30 ans poursuivant son Ph.D forme de Science sociale a JNU, (centre pour des études politiques) et occupant la chambre 248 à la pension de Kaveri a invité deux de ses amis qui ont repéré Kali se reposant près de l'escalier et ont instantanément développé un désir ardent de consommer sa chair. Pour mettre en pratique leur pl*n honteux ils ont leurré Kali avec un biscuit de Parle G jusqu'a la chambre de Yoronso (pièce 248) et une fois à l'intérieur ils ont verrouillé la salle, puis Yoronso a alimenté Kali avec du riz qu'il avait obtenu de la cantine en bas et une fois que Kali a eu mangé, ils l'ont muselé. Kali ne se doutant pas du crime qui allait ètre commis était occupé à remercier Yoronso et ses amis du biscuit Parle G et du plat de riz qu'ils lui ont donné mais soudainement Yoronso a commencé à la matraquer avec une batte de cricket et bientôt ses amis l'ont rejoint avec des tringles de rideau". Ce passage a tabac s'est prolongé pendant presque une heure et quand Kali a été suffisamment étourdie Yoronso l'a poignardé et a commencé à la découper tandis qu'elle était toujours vivante, donnant des coups de pied et se tordant dans des douleur atroces et continuant à respirez dans des halètements loqueteux comme elle a continué à cligner des yeux lentement." Après 20 minutes Yoronso a impitoyablement démembré son corps membre après membre tandis qu'elle était maintenue toujours vivante et observait les horreurs et la boucherie faites sur elle. L'ami de Yoronso a alors apporté une brique et a commencé à écraser le crane de Kali jusqu'a ce qu'elle succombe.
L'agitation de ce crime sordide était assez pour briser la paix de la pension envoyant des étudiants et des gardiens curieux vers la scène du crime. Yoronso et ses complices ont été attrapés la main dans le sac et les spectateurs ont été écoeurés d'être témoin du degré de cruauté impliqué. Certains des étudiants étaient ainsi tellement accablés de voir cette énorme piscine de sang et le corps mutilé de Kali qu'ils ont appelé la police mais les gardiens de la pension ont été rapides pour les dissuader et ont présenté une autre dissimulation en détruisant les preuves c-a-d le cadavre de Kali, les armes de meurtre etc. La police est arrivée mais comme prévu ont négligé leur enquète et fait aucune tentative pour attraper les coupables ou fixer à première vue les preuves.
"Avec le laxisme apparent de la police et des gardiens ce cas aurait pu facilement ètre oublié et le gardien a donné une lettre à Yoronso lui demandant d'évacuer sa chambre de pension. Yoronso doit soumettre son Ph.D le 21 juillet 2008 et était déjà en cours de déménagement de sa pièce avant cet évènement tragique qu'il a commis ainsi l'action du gardien peut seulement se nommer comme ajoutant l'insulte aux dommages mais tout naturellement ainsi parce que les gardiens à JNU sont un groupe lâche de narcissistes égoïstes, des flatteurs qui évitent la polémique avec des administrations et normalisent le silence et la conformité afin de gagner leur place. S'attendre ainsi à leur action sévère est mythique. "Je voudrais mentionner ici que ce n'est pas un incident isolé mais un événement périodique récurrent qui a lieu sur le campus de JNU quand les garçons du nord-est démoniaques se réunissent en buvant de la bière et transportent des chiens de rue qui sont impitoyablement décimés et grillés tout entier. Ajouté à notre liste de griefs, l'administration de JNU est consciemment avertie de ces actes affreux qui restent inconsidérés."
Notez que je suis entièrement d'accord avec le contenu de cette lettre,
Marc Véchambre
Niort
France
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Sujet: témoignage d'un étudiant indien 
